02 décembre 2008, 0h00
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Dans les prochaines années, les conséquences les plus prégnantes de «l’esprit de la crise» toucheront assurément le rapport des citoyens au financement de leur retraite, avec une importante crise de confiance.
Le système par répartition ne cesse de se distendre, et d’augmenter les inégalités générationnelles: d’un côté des «papy-boomers» qui ont mérité dès soixante ans le régime-bonheur qui est le leur, de l’autre des «post baby-boom» qui méritent sans doute mieux que de travailler jusqu’à 70 a...
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