06 février 2004, 0h00
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Comme la vérole sur le bas clergé, la presse s’est jetée sur la piteuse affaire du chancelier de l’Etat de Genève et des rosiers que les élèves de l’Ecole d’horticulture de Lullier ont gracieusement plantés dans son jardin. Zorro, le pourfendeur des corrompus, le redresseur de comptes, le Savonarole de la bonne gouvernance, a cloué au pilori les copinages en usage dans la République. C’est porteur, évidemment, de relayer la dénonciation d’un syndicaliste en mal de publicité. Cela donne aux lecte...
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