02 février 2010, 0h00
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Le premier ministre grec dénonce la spéculation qui s’exerce sur le prix de la dette grecque: le rendement s’est envolé à 7% et ce n’est pas fini. On s’étonne de la surprise provoquée par la défaillance grecque. Du temps de la drachme il y a eu beaucoup d’accidents y compris le blocage de placement fiduciaires: l’argent ne pouvait être récupéré, seul l’intérêt était payé. A-t-on imaginé que le fait d’avoir l’euro comme devise avait rendu la Grèce vertueuse? Ce serait avoir commis une grave erreu...
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