21 janvier 2004, 0h00
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Les néolibéraux militants tels que moi, qui insistèrent pour ouvrir les vannes des capitaux au début des années 1990, avaient une vision particulière à l’esprit. Et pourtant l’avenir que nous espérions ne s’est pas présenté.
Nous avions analysé la force extraordinaire du biais du système international des prix à l’encontre des pays pauvres: les bas prix auxquels leurs produits étaient exportés et les prix forts auxquels les biens essentiels dont ils ont besoin pour s’industrialiser et se dévelo...
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