28 février 2001, 0h00
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Mikhaïl Ivanov s’était installé dans le sud après des années de travail dans les mines sibériennes, mais pour survivre, il a choisi, comme nombre de retraités, de revenir travailler à Norilsk, à l’extrême nord de la Russie.
«Je pensais avoir une retraite confortable, mais en 1991, tout le système soviétique s’est écroulé», explique Ivanov, «retraité» qui travaille à l’usine de cuivre du géant Norilsk Nickel.
«Impossible en Russie de vivre sur sa retraite. Je touchais 1000 roubles par mois (35 do...
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