05 février 2004, 0h00
Partager
Lorsqu’il exprime aujourd’hui ses doutes sur la légitimité du «casus belli» irakien, Colin Powell sent affleurer quelques réminiscences. A l’époque de la première guerre d’Irak, douze ans auparavant, il était général d’active. Saddam Hussein avait envahi le Koweït en août 1990 et ce n’était pas une surprise pour Washington. Pour justifier l’entrée en guerre et surtout pour rallier à sa cause un maximum de pays, l’autre George Bush, le papa, avait appointé une agence de relations publiques chargé...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT