28 juin 2005, 0h00
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Le 23 juin dernier, la «Corporation of London», le principal propriétaire d’immeubles de la City, a demandé à ses partenaires promoteurs immobiliers de se préparer à une croissance de 400% du nombre de hedge funds basés à Londres dans la décennie à venir. Elle a précisé que ces gérants voudront des bureaux «discrets».
Tant pis pour la discrétion. Le lendemain, la FSA, le gendarme des Bourses britanniques, est venu doucher ces perspectives parce que justement il s’inquiète de l’opacité des hed...
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