18 octobre 2015, 20h07
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Dans un contexte de guerre mondiale des monnaies et des taux, la Suisse, pays prospère mais trop petit pour lutter à armes égales contre les grandes puissances, a capitulé le 15 janvier 2015. Alors qu’elle avait fait partie des premiers belligérants en voulant s’arrimer «coûte que coûte» à l’euro au niveau de 1,20, la Banque Nationale Suisse (BNS) a renoncé à défendre ce peg et a, dans le même temps, abaissé son taux directeur à -0.75%, un niveau jamais exploré jusque-là. Cette politique ultra a...
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