29 septembre 2011, 0h00
Partager
Le tandem franco-allemand la veut. Le président de la Commission européenne la soutient. Peu à peu, la perspective d'une taxation des opérations financières ayant au moins une partie prenante basée dans l'Union européenne prend forme. Les réticences américaines et britanniques pourraient ne pas l'emporter devant la volonté communautaire de faire payer une industrie financière récemment sauvée par des garanties publiques. Les conséquences pour la Suisse si le projet se concrétisait.Observée avec ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT