29 mars 2000, 0h00
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Jadis, les intellectuels fustigeaient les journalistes de la pensée unique qu’ils avaient surnommés les «chiens de garde», pour dénoncer leur esprit excessivement conservateur et rétrograde. Aujourd’hui, ce sont les paparazzi et les rédacteurs de la presse à scandale qui sont dans le collimateur de certaines personnalités publiques.
Les deux auteurs les affublent du sobriquet de «rats de garde» car, tout comme les rongeurs du même nom, ils véhiculent une sorte de peste.
On l’a compris, le ton de...
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