23 avril 2009, 0h00
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L’or bleu donne quelques nausées à l’industrie alimentaire, dans un contexte de fort recul des ventes d’eau embouteillée. A priori, le secteur ferait les frais du débat souvent stérile du robinet contre la bouteille. Mais, cet argument, un peu court, ne suffit pas à expliquer entièrement «la fin provisoire de l’eldorado», comme le qualifie le consultant indépendant James Amoroso. D’abord les faits de cette plongée en eaux troubles. Nestlé, numéro un mondial de l’eau embouteillée, a essuyé une ba...
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