07 janvier 2000, 0h00
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Après un échec lors des élections fédérales synonyme de marginalisation croissante, les libéraux suisses ont approché les radicaux pour tenter de former un grand pôle de droite, à l’image du pôle centriste entrepris sous l’égide des démocrates-chrétiens avec les évangéliques, les indépendants et l’UDF. Les radicaux se disaient prêts à accueillir leurs «amis» libéraux mais le rendez-vous a été manqué. Aucune suite n’a été donnée aux demandes des libéraux qui n’ont même pas reçu de réponse officie...
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