25 mars 2008, 0h00
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Les groupes suisses, dont les caisses sont le plus souvent bien garnies, ne font pas que distribuer des dividendes. Ces dernières années, ils ont aussi racheté leurs propres actions. Ces programmes peuvent toutefois mal se passer, comme chez UBS et ABB dernièrement. Un programme de rachat d’actions est souvent bon signe. L’entreprise montre ainsi qu’elle s’attend à de nouveaux bénéfices et à un bilan solide. Théoriquement, ces transactions permettent aux actionnaires et aux dirigeants d’y trouve...
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