15 novembre 2011, 0h00
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Un chômage record, une croissance atone, des ménages et entreprises surendettés: les plaies de l'économie espagnole, toutes héritées de l'éclatement de la bulle immobilière fin 2008, pourraient mettre longtemps à se refermer.Pendant des années, cette bulle a porté la croissance de l'Espagne à des rythmes insolents: en 2004, à l'arrivée au pouvoir du socialiste José Luis Rodriguez Zapatero, elle s'affiche à 3,3%. C'est alors la dixième année consécutive que le pays avance plus vite que la moyenne...
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