29 mars 2004, 0h00
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Depuis qu’une plainte a été déposée sur son protectionnisme en matière de puces électroniques, Pékin semblait tétanisée par l’attaque. Mais en acceptant, vendredi, le dialogue avec le plaignant américain, la Chine a joué habilement. Elle s’installe, de fait, dans un fauteuil d’arbitre des élections américaines sur un sujet sensible: les emplois.
La lutte contre l’outsourcing
Le déménagement des «jobs» américains – y compris high-tech – en Chine est au cœur de la campagne électorale. Le can...
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