05 juin 2003, 0h00
Partager
Le cancer, quelles que soient ses formes, est pratiquement toujours associé à un défaut génétique de la cellule d’où part la maladie, que ce défaut soit hérité ou provoqué par l’environnement auquel a été exposé l’individu. Il n’en va pas différemment des tumeurs elles-mêmes, dont la génétique propre va affecter leur susceptibilité à tel ou tel médicament. Et à la croisée de ces deux constatations, on retrouve le patient qui, selon à nouveau son bagage génétique, va souffrir plus ou moins des ef...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT