02 février 2012, 0h00
Partager
«L'approche du gouvernement n'offre aucune garantie de succès, ni même de progrès. Mais c'est la position de la Suisse.»; Le nouveau ministre des Affaires étrangères Didier Burkhalter veut à l'évidence éviter que l'on reproche au gouvernement d'avoir cédé avant d'avoir négocié: l'approche coordonnée des prochaines négociations bilatérales avec l'Union européenne (UE), décidée l'an dernier avec le président de la Commission européenne José Manuel Barroso, doit se faire de façon ouverte et pragmat...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT