20 avril 2010, 0h00
Partager
Les conséquences de l’arrêt presque complet du trafic aérien en Europe suite à l’éruption du volcan islandais peuvent se mesurer très prosaïquement par la longueur des cernes des voyageurs. Ou par le manque à gagner journalier des compagnies aériennes de 200 millions de dollars avancé par l’IATA qui fait pression pour que l’UE lève son interdiction. Elles ne sont pas couvertes par un tel risque.
Mais il ne faut pas oublier non plus que c’est l’ensemble de la chaine d’approvisionnement logistiqu...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT