03 août 2009, 0h00
Partager
Holcim délaisse l’Amérique centrale sans regret. Car pour le cimentier, le potentiel est ailleurs. Le groupe saint-gallois a donc annoncé vendredi la cession au colombien Argos de sa participation dans une coentreprise aux Caraïbes et au Panama. Une décision qui fait suite à la nationalisation forcée de sa filiale vénézuélienne, en juin 2008. «Cette situation ne rend plus viable l’approvisionnement en ciment des sites dans cette région», a justifié le groupe dans un communiqué. Les participation...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT