02 février 2005, 0h00
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Un déroulement sans trop de heurts du scrutin en Irak, où les électeurs se sont massivement déplacés malgré les menaces terroristes, a permis au dollar d’entamer cette semaine sur une note ferme. La monnaie américaine est restée insensible aux prises de positions des grands capitaines d’industrie des Etats-Unis ce week-end à Davos. Après Warren Buffett, c’était au tour de Bill Gates de déclarer que «ce bon vieux dollar, il va encore baisser». Et d’ajouter qu’il était «short», c’est-à-dire en pos...
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