14 août 2009, 0h00
Partager
Sal Oppenheim s’apprêterait donc à boire le calice jusqu’à la lie. Deux jours à peine après avoir du accepter pour la première fois en 210 ans d’existence de perdre une partie de sa sacro-sainte indépendance, la banque privée luxembourgeoise d’origine allemande pourrait être contrainte de céder certaines de ses activités voire même de tomber sous le giron d’un de ses concurrents européens. Le groupe, qui a quitté son siège historique de Cologne en 2007 pour des raisons fiscales, n’a pas résisté ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT