22 août 2011, 0h00
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Si on tient à éviter un défaut des souverains et un éclatement de la zone euro, «il n'y a pas d'alternative aux euro-obligations»;, déclare Peter Bofinger, conseiller économique de Mme Merkel. Mais la Chancelière reste sourde à ces recommandations, car tout comme Sarkozy, elle ne souhaite pas voir la zone euro dans sa forme actuelle émettre des obligations avant l'achèvement du long processus qui aboutirait à une «véritable gouvernance économique»;.Il est facile de dénigrer leur post...
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