23 février 2006, 0h00
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Jusqu’à hier, la politique économique du chef du gouvernement espagnol s’était très peu démarquée de celle, libérale, de son prédécesseur. Mais en s’opposant au rachat de l’espagnol Endesa par l’allemand E. ON, le socialiste Zapatero rejoint le camp des souverainistes économiques. Il y retrouve les conservateurs polonais du président Kaczynski qui viennent de bloquer la fusion de deux banques détenues par l’italien Unicredito. Cette même alliance protectionniste entre socialistes et nationaliste...
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