07 avril 2008, 0h00
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Frédéric Hahn est heureux. La semaine dernière, il a signé le contrat le plus important de la courte histoire d’Algoril: le produit de sa société sera désormais collé sur les emballages de millions de téléphones portables made in China - au nom de grandes marques occidentales. L’entreprise, basée à Genève, n’est pourtant pas active dans le sticker, mais dans la lutte anti-contrefaçon. Un combat qu’elle mène armée... d’algorithmes. Autrement dit, de séries de chiffres choisis de manière aléatoire...
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