15 octobre 2003, 0h00
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Déjà pointées du doigt dans la problématique de l’épidémie du sida, les sociétés pharmaceutiques pourraient à nouveau se trouver sur le banc des accusés. En cause: leur dédain pour un certain pan du marché des antibiotiques, jugé trop peu rentable. Les chiffres sont parlants. En 2002, seuls trois nouveaux antibiotiques, le Ketek d’Aventis, la Sitafloxacine de Daichi et une nouvelle formulation du Cipro de Bayer, le Cipro XR, ont été homologués. A l’heure où le développement de nouvelles résistan...
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