27 juin 2000, 0h00
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Comme nous le disions dans ces colonnes le 8 juin, les élections au Zimbabwe ressemblent à une farce sanglante. Londres les a qualifiées de «truquées» et le chef de la mission des observateurs de l’UE, Pierre Schori, a déclaré dans un langage plus diplomatique que «le terme d´élections libres et honnêtes n´est pas applicable à ces élections». A ces deux dépêches sont venues s’en ajouter deux autres: la première, ahurissante, est que, quelle que soit l’issue de ces élections (une victoire du part...
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