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Les pays émergents avancés veulent une véritable démocratisation du FMI

L’ex-économiste en chef du Fonds plaide pour une meilleure répartition du pouvoir. L’institution y gagnerait en légitimité politique et en crédibilité.

08 mars 2005, 0h00
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Les pays émergents, du Chili à la Chine, demandent depuis un certain temps une «démocratisation» du Fonds monétaire international (FMI), le cœur du système financier international. Ils veulent avoir davantage leur mot à dire la prochaine fois que le Fonds décidera d’un prêt à un pays émergent comme l’Argentine, le Brésil, l’Indonésie ou la Turquie. En attendant, il va inévitablement se forger un nouveau Consensus de Washington des bonnes pratiques en matière de politique économique. Les pays en ...
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