11 décembre 2001, 0h00
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A moins d’une année des prochaines élections fédérales et alors que les syndicats commencent à mettre la pression pour profiter du climat préélectoral, le paysage politique allemand change de structure. En commençant par la province, les partis extrêmes se frayent un chemin sur un marché politique jusqu’alors dominé par les grands groupements populaires, les sociaux-démocrates (SPD) et les conservateurs (CDU/CSU), ainsi que, sur leurs traces, les Verts et les libéraux (FDP).
Dans la capitale all...
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