24 février 2011, 0h00
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Pour l'heure, rien ne plaide pour l'abandon d'une politique monétaire autonome s'appuyant sur la libre circulation des capitaux et un régime de changes flexibles. Telle est la conclusion d'Avenir Suisse dans une réflexion publiée hier à propos de la cherté du franc. Le think tank réfute également les appels aux subventions, aux interventions protectionnistes et dirigistes ou à une politique industrielle de l'Etat: les exemples étrangers montrent à foison ce qu'il advient lorsque l'Etat se détour...
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