11 juillet 2005, 0h00
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«Les salariés suisses seront éjectés du marché du travail par la main-d’œuvre bon marché étrangère et poussés vers les institutions sociales.» Sombre tableau brossé hier par le conseiller national Toni Bortoluzzi (UDC/ZH), pour le cas où les citoyens accepteraient l’extension de l’accord de libre circulation, le 25 septembre. La campagne est lancée.
Le comité interpartis des opposants comprend Bernard Hess (Démocrates suisses, auteurs du référendum), Attilio Bignasca (Lega tessinoise), les diri...
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