21 mars 2005, 0h00
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Le premier trimestre 2005 n’aura pas été un grand cru pour les établissements financiers européens s’occupant de fusions et acquisitions (M&A). Les budgets étaient optimistes – certainement trop – n’ayant pas tenu compte de l’impact positif de grandes opérations marginales et exceptionnelles mais comptant dans la statistique.
L’offre de Sanofi-Synthélabo sur Aventis et la restructuration des participations de Royal-Dutch Petroleum et Shell Transport & Trading ont représenté à elles seules 150 m...
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