13 juillet 2004, 0h00
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Malgré des températures plutôt fraîches pour la saison, les marchés financiers semblent être entrés dans une phase de léthargie estivale. Le relèvement des taux d’intérêt par la Réserve Fédérale parfaitement digéré, les rendements obligataires n’ont quasiment pas évolué au terme de la semaine écoulée.
La faible volatilité des obligations s’explique par l’absence de nouvelles significatives. Après une salve d’indicateurs phares (rapport de l’emploi, indice ISM manufacturier) et la réunion du FOM...
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