01 décembre 2009, 0h00
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sébastien ruche
«Encore un obstacle pour les banques suisses», soupire un spécialiste de la clientèle du Moyen-Orient après l’interdiction des minarets approuvée dimanche en votation fédérale. Bien que réticents à s’exprimer publiquement sur le sujet, les milieux bancaires peinent à dissimuler leur inquiétude. L’Association suisse des banquiers (ASB) craint que ce soit un «mauvais signal donné au monde islamique».
Car ce nouvel «obstacle» risque de s’ajouter aux dégâts d’image occasionnés, pêl...
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