29 juillet 2005, 0h00
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Achille Casanova souffre. Depuis plusieurs jours il range son bureau et trie ses dossiers. Quitter le poste de vice-chancelier et de porte parole du gouvernement qu’il a occupé pendant 24 ans n’est manifestement pas facile. Mais le plus dur reste à venir révèle un peu en passant la Neue Luzerner Zeitung de hier: abandonner à la destruction les 200 carnets dans lesquels il a pris ses notes sur les 1200 séances de Conseil fédéral auxquels il a participé.
«Je les laisserai dans l’armoire, quelqu’...
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