16 septembre 2009, 0h00
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Sur fond de crise économique mondiale, les Norvégiens ont opté pour la stabilité en reconduisant la coalition de gauche sortante, estimaient les commentateurs mardi, au lendemain de législatives aussi marquées par l’enracinement des populistes comme deuxième force du pays.
Aux baisses d’impôts promises par la droite, les électeurs ont préféré la protection rassurante de l’Etat-providence, une recette qui a fait ses preuves au plus fort de la crise sous la conduite du Premier ministre travaill...
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