22 juillet 2004, 0h00
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D’un côté, l’illégalité du mur érigé sur les territoires palestiniens occupés, qu’a confirmée la Cour internationale de justice le 9 juillet dernier. De l’autre, les besoins sécuritaires d’Israël. Entre les deux, l’Union européenne a forcé le passage, au bout de trois jours de débat à l’assemblée générale des Nations Unies et deux reports de vote, d’un bémol au texte de la résolution qui prie l’Etat hébreu de respecter l’avis du tribunal de La Haye: à la demande d’élimination de la barrière de s...
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