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Les montres DeWitt s’anoblissent dans une lente verticalisation

Trois ans après avoir imposé sa propre marque de luxe, le comte Jérôme de Witt garde son cap: du spirituel dans l’horlogerie.

11 avril 2007, 0h00
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«Je prends le rendez-vous bâlois avec philosophie.» Baselworld n’est plus qu’à quelques heures en Bentley de Vernier, mais le maître de maison, Jérôme deWitt, envisage l’effervescence du salon avec la sérénité d’un aristocrate avant une campagne militaire. Le créateur de la marque éponyme, descendant de Napoléon, entre autres, assumera son rôle d’ambassadeur plus en termes de relations publiques que de ventes à proprement parler. Aucun objectif n’est articulé. Bâle est pour lui un «baromètre», u...
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