18 juin 2002, 0h00
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Le pessimisme est l’ami de l’investisseur à long terme. Facile sur le papier, un tel adage est difficilement applicable dans la réalité, car souvent les investisseurs se laissent dominer par leurs émotions ou sont contraints de respecter des directives d’investissements très strictes mais parfois à mauvais escient, du fait notamment de l’obligation de s’aligner sur un indice (benchmark dans le jargon anglo-saxon) et de rendre des comptes trimestriellement.
Au plus profond d’un gros courant de...
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