14 octobre 2005, 0h00
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La courte défaillance de l’USD s’est achevée assez rapidement. Le chômage a beaucoup moins augmenté que ne le laissaient prévoir les catastrophes climatiques. Par ailleurs, l’arrivée d’Angela Merkel comme première chancelière allemande a laissé les intervenants de glace. Même la présence d’Edmund Stoiber à l’Economie ne porte pas à l’optimisme sur la durée de la coalition. Au moment présent, on se bornera à constater que le temps qu’elle durera sera synonyme de temps perdu pour de vraies réforme...
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