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Les mauvaises surprises des placements durables

Les fonds excluent certaines activités (dans les domaines de l’armement, du nucléaire, du tabac, des OGM, etc.) sauf si cela constitue moins de 5% du chiffre d’affaires de l’entreprise.

16 août 2011, 0h00
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De plus en plus de privés rebutés par les pratiques des grandes banques s'intéressent aux placement durables. Pourtant, selon experts et adeptes, les mauvaises surprises existent et les garanties restent insatisfaisantes.Serge Pfister a fait une drôle de tête quand il a appris que le fonds durable spécialisé dans les énergies renouvelables dans lequel il avait investi comprenait des entreprises réalisant jusqu'à 25% de leur chiffre d'affaires dans l'énergie nucléaire.Pareil pour Lucas Chambers l...
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