19 mai 2010, 0h00
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L’amertume reste plus longtemps en bouche que la délectation. Alors qu’en Suisse romande, l’euphorie autour de la décision des CFF d’accorder le mégacontrat au groupe canadien Bombardier est (déjà) retombée de plusieurs crans, les milieux économiques et politiques de Suisse alémanique n’en finissent plus de regretter la défaite de l’entreprise thurgovienne Stadler Rail. L’affaire vire au psychodrame. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les arguments sont de qualité inégale. Il y a d’abor...
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