08 octobre 2007, 0h00
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Les capital-risqueurs de la Silicon Valley en raffolent. Tous les géants de l’informatique au sens large s’y sont mis: Google, IBM, SAP, Microsoft. A quoi? Aux «SaaS», pour «softwares as a service»: des logiciels qui ne sont plus installés sur les ordinateurs des clients, mais accessibles via Internet, via une redevance.
Gratuites, les «Google apps» du géant de la recherche sur Internet et la «Symphony» d’IBM veulent ouvertement concurrencer la suite Office de Microsoft, qui a riposté le 1er ...
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