05 octobre 2011, 0h00
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La nervosité est encore remontée d'un cran sur les marchés, hier. Les places financières ont reculé devant les craintes d'un défaut grec qui se font de plus en plus insistantes. La décision de reporter à novembre au plus tôt le versement de la prochaine tranche d'aide à la Grèce ainsi que les perspectives renforcées de récession ont pesé sur les échanges. Au bord de l'asphyxie, Athènes a refusé d'imposer de nouvelles mesures budgétaires, alors que son économie est assommée par la cure d'amaigris...
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