28 juin 2011, 0h00
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Grâce à une aide financière supplémentaire, la Grèce a gagné un peu de temps, mais le pays n'est pas pour autant tiré d'affaire. Il reste à voir si les mesures d'austérité draconiennes proposées par le gouvernement du Premier ministre Georgios Papandréou seront viables au plan politique. L'histoire permet d'en douter. Dans une démocratie, lorsque les exigences des marchés financiers et des créanciers étrangers s'opposent à celles des travailleurs, retraités et de la classe moyenne d'un pays, ce ...
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