03 mai 2010, 0h00
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Venant après celle de UBS ou de Nestlé, l’assemblée générale du groupe Credit Suisse en fin de semaine dernière a donné un aperçu des difficultés de ce que le Parti socialiste suisse, dans son récent programme quinquennal, nomme «démocratie économique». L’idée clairement explicitée que l’économie – ou l’armée, selon les vieilles utopies de la gauche – devrait être soumise au même régime que la politique est sans doute trop stupide pour être sérieusement débattue. Qu’un certain niveau de consulta...
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