23 juillet 2007, 0h00
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Une à une, les belles entreprises, fierté du capitalisme britannique, sont en train de passer sous pavillon étranger. Comble de l’horreur, depuis quelques temps, ces prédateurs qui fondent sur le Royaume-Uni sont originaires de pays en voie de développement.
Dernier exemple en date, Jaguar et Land Rover (qui aujourd’hui appartiennent à Ford) risquent de se voir absorber par l’indien Tata Motors. «Il ne s’agit pour l’heure que de discussions préliminaires, aucune décision n’a été prise», indiq...
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