08 mai 2000, 0h00
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C’est un peu cette question qui était sur toutes les lèvres lors du débat organisé vendredi soir au Salon du livre autour de Régis Debray. Pour ce dernier (voir article en page 8), les journalistes ont cessé d’être critiques pour former une cléricature qui dicte péremptoirement au public ce qu’il doit penser sur tous les sujets (tout comme l’Église catholique l’a fait pendant des siècles). Ils auraient donc trahi leur vocation qui est d’analyser les faits et les discours. Désormais, en l’absence...
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