21 juin 2006, 0h00
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Si les bookmakers britanniques parient sur le vainqueur de la Coupe du Monde de foot 2006, les milieux financiers, eux, spéculent sur les retombées de l’événement sur les résultats financiers des fabricants d’articles de sport ou des grands diffuseurs de la publicité ou de la télévision. Pour l’instant, côté produits financiers, deux «certificats foot» émis au printemps par deux banques françaises, BNP-Paribas et la Société Générale, ne répondent pas aux attentes. Leurs cours sont en baisse par ...
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