06 octobre 2003, 0h00
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En fin de semaine, nous sommes passés à l’acte pour la partie euro, profitant des faiblesses de jeudi et vendredi. Les chiffres décevants de la confiance des consommateurs et des entreprises, et le changement d’humeur ambiant (dicté par la perception selon laquelle la fragile reprise américaine ne peut contenir la hausse du chômage) nous conforte dans notre choix. A cela nous pourrons encore ajouter la perte de confiance croissante en George W. Bush sur la question de l’Irak et l’enquête en cour...
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