13 octobre 2005, 0h00
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Bien qu’en repli depuis les sommets de fin août, le prix du pétrole et les problèmes de stratégie énergétique devraient dominer ce week-end les échanges du G20 qu’accueille la Chine, pays perçu comme «prédateur» et responsable d’une grande part des tensions du marché depuis deux ans.
Si le contexte apparaît quelque peu apaisé grâce au recul de quelque 10% des cours du pétrole coté à New York depuis le sommet historique de 70,85 dollars atteint le 30 août, le problème de l’adéquation offre/deman...
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